Depuis le 5 juin, le Cyber bus de la formation va à la rencontre des Guadeloupéens, aujourd’hui, il sera à Basse-Terre. Le 7 , il ira à Pointe-à-Pitre et il achèvera sa mission d’information autour des métiers du numérique, du tourisme, des langues, de l’économie verte et bleue le 8 juin 2018 à Sainte-Anne.
Dans le cadre de la promotion de son offre de formation, L’EPIC Guadeloupe Formation, opérateur régional de l’orientation et de la formation, va à la rencontre du public depuis le 5 juin aux Abymes, aujourd’hui à Basse-Terre (parvis de l’Hôtel de ville) et poursuivra sa route le 7 juin à Pointe-à-Pitre (parvis de l’Hôtel de ville) et le 8 juin à Sainte-Anne (place de la mairie) de 9h00 à 13h00. Cette opération est menée en partenariat avec Cap Excellence, la communauté de d’agglomération du grand Sud Basse-Terre, de la Communauté d’agglomération de la Riviera du Levant et de la commune de Sainte-Anne.
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Les habitants pourront s’inscrire aux formations
L’offre de formation de l’EPIC regroupe des
actions de pré-qualifications, de remise
à niveau, de qualification, des programmes
réalisés dans le cadre des chantiers
d’insertion et de la formation continue dans
les secteurs du numérique, du tourisme,
des langues, de l’économie verte et bleue.
Elle s’adresse à tous les publics et offre
l’opportunité à chacun de faire évoluer ses
compétences professionnelles et de se former tout au long la vie. Les 6, 7 et 8 juin,
les habitants pourront échanger avec des conseillers en orientation et en formation et s’inscrire directement sur place (il est conseillé de se munir d’un CV et d’une lettre de motivation). Toute la programmation 2018 est disponible sur
www.guadeloupeformation.com. Les dossiers de candidatures sont à retirer dans les
différents établissements ou à télécharger sur le site.
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En 2017, 22 % de la population est au chômage
En 2017, 35 000 personnes sont au chômage au sens du Bureau International du Travail (BIT), soit 22 % de la population active. Le taux de chômage reste important en Guadeloupe, mais il diminue : il était de 24 % en 2016, 2015 et 2014. Il touche surtout les jeunes actifs, les ouvriers, les peu ou pas, diplômés et les femmes (avec un écart de trois points entre les deux sexes).
